Le blog sur les céréales

Journées du patrimoine, suivez le guide !

Ces édifices constituent encore en grande majorité un un patrimoine vivant, même si l’évolution technique a pu en modifier l’utilisation. A l’occasion des Journées européennes du Patrimoine, nous vous proposons une découverte de quelques sites céréaliers représentatifs de cette richesse architecturale et humaine à travers les régions françaises. La diversité des édifices et des siècles évoqués souligne le puissant ancrage du travail du grain dans nos territoires.

Port, silos à céréales et maison du riz dans le Sud

Nombre d’entre eux font partie aujourd’hui de notre patrimoine national, régional ou local, et leur histoire continue de passionner les spécialistes comme le plus large public. Ces édifices constituent encore en grande majorité un un patrimoine vivant, même si l’évolution technique a pu en modifier l’utilisation. A l’occasion des Journées européennes du Patrimoine, nous vous proposons une découverte de quelques sites céréaliers représentatifs de cette richesse architecturale et humaine à travers les régions françaises.

Est-ce la biscotte de Wagner qui a inspiré la Madeleine de Proust ?

C’est l’hypothèse de Luzius Keller, de l’Université de Zürich. Dans un article paru dans la Revue Poétique, l’éditeur de l’œuvre de Proust en allemand pointe des correspondances troublantes entre l’épisode de la Madeleine et celui de la Biscotte qui permet à Wagner de reprendre la composition d’un de ses plus grands opéras, en 1859, à Lucerne (Suisse).

Voyage dans la légende dorée du bagel

50 ans plus tard le bagel devient plus populaire que le donut aux USA. Dans les années 90, la dépense nationale américaine annuelle s’élève à 750 millions de dollars pour le bagel contre 500 millions de dollars pour le péché mignon de Homer Simpson. C’est la victoire du vide contre le plein ; la revanche du petit pain au levain (le bagel) contre la pâtisserie sucrée et grasse (le donut).

Une « bagélisation » qui en dit long

Voyage dans l'imaginaire des céréales à Strasbourg

L'écrivain-cycliste a l'imagination fertile autant que le coup de pédale facile. Une ligne d'horizon, un petit vallon... Et voici des champs de blé qui sont pour lui « la promesse d'un pain bien croustillant ». Derrière les épis, il devine déjà « une boulangerie géante à la devanture d'or ». Il l'avoue : il se « régale des paysages [qu'il] traverse, navigateur à pédale à l’affût de cette nature domestiquée ».

Pas si nouille le collier de pâtes

Inoffensif pour ceux qui confondent encore « appétissant » et « comestible », il a encore d’autres avantages. Il est bon marché. La matière première abonde. Et il est customisable à l’infini.

Toutes ces facilités de conception n’en font pas une œuvre mémorable. Le collier de pâtes est même un peu nouille. Sauf quand on s’appelle Agnès Propeck et qu’on décide de reproduire le collier dit « de la Reine » avec des pâtes alimentaires.