Des pandas et des dinosaures, la déesse marine Mazu et Napoléon Bonaparte, des reproductions de La Joconde, de Léonard de Vinci et des Glaneuses de Jean-François Millet... A travers l'Asie, du Japon à la Chine, de Taïwan à la Corée du Sud, de vastes dessins végétaux sont apparus ces dernières décennies dans les champs. Rouge, blanc, vert clair, marron... C'est grâce aux différentes couleurs des feuilles des variétés de riz et à leur bonne répartition dans le champ que ces esquisses ont pu voir le jour.

Les céréales, cultivées depuis l’apparition de l’agriculture, constituent une source principale de l’alimentation des grandes civilisations depuis leur origine, sur tous les continents : le riz en Asie, le maïs en Amérique du Sud, le mil en Afrique, ou le blé en Europe.

Les premiers rouleaux apparaissent déjà sur les représentations murales de l’Ancienne Egypte. Les Étrusques, eux aussi, semblaient apprécier l’utilité de l’objet autant que nous. Que ce soit le ciabatta italien, la pita du Moyen Orient, les piroghis du monde slave ou les chapatis du continent indien, le rouleau s’est toujours avéré utile.

C'était au cœur des années 2000. Edouard Minart vivait à New-York et travaillait dans l'analyse crédit. Ce Bordelais d'origine était spécialisé dans les secteurs de l'industrie lourde et des médias/telecom. Une expérience professionnelle riche qui a duré sept ans et qui lui a permis de s'immerger dans la culture américaine. C'est là qu'il a découvert un secteur alors en pleine effervescence outre-atlantique : la « craft beer » (la bière artisanale). « C'était vraiment passionnant ! », se souvient-il aujourd'hui.

Sur les hauteurs de la ville, un moulin à vent déploie ses ailes à voiles de 7 m. Vieux de presque quatre siècles, c’est le dernier moulin à vent de Castelnaudary autrefois surnommée « la ville des moulins à vent ».