Culture
A la découverte du patrimoine céréalier
Chaque année, ces journées offrent une occasion unique de découvrir ou redécouvrir les monuments qui font notre histoire, notre mémoire commune et le visage de nos territoires. Au sein de ce patrimoine, les bâtiments céréaliers sont souvent les éléments agricoles les plus monumentaux. Une occasion de découvrir quelques-uns de ces sites céréaliers qui soulignent le puissant ancrage du travail du grain dans nos territoires. Des édifices qui constituent encore en grande majorité un un patrimoine vivant, même si l’évolution technique a pu en modifier l’utilisation.
Quand les rizières deviennent des œuvres d'art
Des pandas et des dinosaures, la déesse marine Mazu et Napoléon Bonaparte, des reproductions de La Joconde, de Léonard de Vinci et des Glaneuses de Jean-François Millet... A travers l'Asie, du Japon à la Chine, de Taïwan à la Corée du Sud, de vastes dessins végétaux sont apparus ces dernières décennies dans les champs. Rouge, blanc, vert clair, marron... C'est grâce aux différentes couleurs des feuilles des variétés de riz et à leur bonne répartition dans le champ que ces esquisses ont pu voir le jour.
Le rouleau à pâtisserie dans tous ses états
Les premiers rouleaux apparaissent déjà sur les représentations murales de l’Ancienne Egypte. Les Étrusques, eux aussi, semblaient apprécier l’utilité de l’objet autant que nous. Que ce soit le ciabatta italien, la pita du Moyen Orient, les piroghis du monde slave ou les chapatis du continent indien, le rouleau s’est toujours avéré utile.
Les nouveaux visages de la bière
C'était au cœur des années 2000. Edouard Minart vivait à New-York et travaillait dans l'analyse crédit. Ce Bordelais d'origine était spécialisé dans les secteurs de l'industrie lourde et des médias/telecom. Une expérience professionnelle riche qui a duré sept ans et qui lui a permis de s'immerger dans la culture américaine. C'est là qu'il a découvert un secteur alors en pleine effervescence outre-atlantique : la « craft beer » (la bière artisanale). « C'était vraiment passionnant ! », se souvient-il aujourd'hui.
Alléluia ! Le gâteau de Pâques est arrivé !
Sur les hauteurs de la ville, un moulin à vent déploie ses ailes à voiles de 7 m. Vieux de presque quatre siècles, c’est le dernier moulin à vent de Castelnaudary autrefois surnommée « la ville des moulins à vent ».
Le Kvas russe : une histoire pétillante
Voilà ce qu'écrivait, à la fin de 18e siècle, l’aventurier vénitien Giacomo Casanova dans son autobiographie. Le nom qu’il a oublié est celui du kvas (prononcer kvasse), une boisson pétillante et rafraichissante à base de pain fermenté.
Mais quel amour, ce gâteau !
Rendons à César ce qui est à César – il y a dans ce nom également le mot « amour ». Et comme souvent, c’est avec l’amour que tout a commencé. L’origine de ces gâteaux n’est pas certaine car il existe deux légendes dont les versions sont différentes. La première raconte que les femmes des pêcheurs locaux cuisinaient un gâteau à la crème pour régaler leurs maris à leur retour de mer. La deuxième explique que les femmes faisaient ce gâteau pour elles-mêmes, pour compenser l’absence des maris et calmer l’inquiétude.
La délicieuse énigme alsacienne
Entre râpe et passoire, cet objet permet de faire les spaetzle, petites pâtes copieuses, servies ensuite comme accompagnement ou comme plat unique. Les grands chefs proposent cette recette traditionnelle dans des restaurants étoilés. Mais on peut également les faire à la maison, il suffit de savoir manier cette planchette à trous et son racloir...