Le blog sur les céréales

La délicieuse énigme alsacienne

Entre râpe et passoire, cet objet permet de faire  les spaetzle, petites pâtes copieuses, servies ensuite comme accompagnement ou comme plat unique. Les grands chefs proposent cette recette traditionnelle dans des restaurants étoilés. Mais on peut également les faire à la maison, il suffit de savoir manier cette planchette à trous et son racloir...

Pierre de Mas : testeur de nouveaux produits et variétés

De fait, comme un céréalier, le jeune technicien sème, traite, récolte. Mais lui travaille sur de petites surfaces et avec des outils adaptés. En poste chez ARVALIS-Institut du végétal depuis 2016, il a pour objectif de « tester toutes les nouveautés avant qu'elles ne soient mises sur le marché, explique-t-il. Les agriculteurs ne doivent pas avoir à se demander si elles seront ou non efficaces, c'est notre rôle ».

Arthur Moisdon : répondre aux attentes de la société

Des grains transformés en farine à quelque 80 km. Et, enfin, du pain produit et vendu dans les boulangeries de la région. Il s'agit là d'une filière de blé meunier de qualité tracée (Signé +) qui repose sur la mise en œuvre de bonnes pratiques. « Développer une telle démarche locale et de qualité est la seule solution pour répondre aux attentes sociétales », explique-t-il.

Franck Pellerin : la soif de savoir

Stockage, vente ou encore production d'énergie : le céréalier a décidé d'élargir année après année le champ de ses compétences. « Développer de nouvelles activités rend notre métier passionnant », se réjouit-il.

Depuis qu'il a repris la ferme familiale en 1999, il a multiplié les projets. Par soif de savoir, mais aussi pour consolider l'équilibre économique de la ferme et « garder la main » sur son activité. Aux côtés de son frère, il a ainsi développé l'engraissement de cheptels (porcins notamment), leur alimentation provenant directement de la ferme.

Hervé-Pierre Hypolite : de la bière à la ferme

L'année 2019 va être l'occasion pour le céréalier de 28 ans de produire et commercialiser ses premières bières. Une évolution logique, à ses yeux, de son métier d'agriculteur : « J'aime l'idée de mener une production de A à Z en circuit court, de la culture de l'orge à la vente des bières, c'est une belle valorisation du travail réalisé sur toute une année, une continuité de notre métier d'agriculteur », explique-t-il avec enthousiasme.

Thibauld Deschamps : deux métiers pour une même passion

Côté recherche, il se penche sur l'activité biologique des sols pour l'institut technique ARVALIS. Comment favoriser la présence des vers de terres, bactéries ou autres champignons qui rendent de nombreux services au monde agricole (stockage du carbone, minéralisation des sols...) ? Voilà la question à laquelle il tente de répondre au quotidien, en étudiant les pratiques qui peuvent favoriser cette vie des sols.

Le pain noir des Misérables

Cet attachement particulier au pain noir des pauvres se retrouve amplement dans les pages de ses romans. Le pain d’une portée symbolique, ou représentation d’une organisation sociale juste ? Certes, mais c’est aussi un produit bien réel, avec ses différentes variétés. Pour les décrire, l’écrivain se documente et se sert de réels rencontres.